Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

Le nom de ce blog est sans doute évocateur de notre "nachid el watani" tant décrié par le passé parce que, associé au pouvoir Algérien illégitime. Après des décennies de disettes. Je voudrais faire de cet espace, un coin où tous mes compatriotes et autres amoureux de libertés, de démocratie, ou tout simplement d'histoire pourraient s'exprimer librement. En ce sens, nous vous souhaitons la bienvenue. En hommage à Nacer Hachiche, repose en paix et à bientôt ! Pour garder le contact avec notre chère patrie : http://www.alger-presse.com/index.php/presse-fr


Les 13 salopards écartés par le Président Abdelaziz Bouteflika (source Algérie focus)

Publié par The Algerian Speaker sur 4 Septembre 2014, 13:19pm

Catégories : #Charika Gadra (hacha enaâma)

Des salopards et des "salopettes" out pour en faire rentrer de nouveaux. Allez, entrez dans la dance !
Des salopards et des "salopettes" out pour en faire rentrer de nouveaux. Allez, entrez dans la dance !

13 hauts responsables de l’Etat ont été limogés par le Président Bouteflika. Ils sont généraux, conseillers à la Présidence, chefs des régions militaires, directeurs et sous-directeurs à la Présidence ou chefs de cabinet. Bref, tous des dirigeants qui ont longtemps pesé sur la vie politique et décisionnelle algérienne. Ces “13 salopards”, en référence au célèbre film américain “les Douze Salopards”, ont occupé pendant des années des hautes fonctions dans l’armée ou à la Présidence. Leur départ s’apparente davantage à une amère sanction qu’à un ordinaire remaniement motivé par des considérations administratives. Dégagés, ces dirigeants sont donc victimes d’une vaste opération de “déblayage” enclenchée par le Chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika. Une opération qui témoigne des contradictions politiques qui déchirent actuellement le régime algérien. Un régime tiraillé entre une volonté de changement pour s’adapter à la nouvelle conjoncture régionale et internationale, et l’ambition tenace de maintenir le statu-quo. Mais qui sont finalement ces 13 personnalités écartées du pouvoir ? D’après le Journal officiel numéro 47, trois d’entre elles sont “mises à la retraite”, mais les autres sont tout simplement éjectées des affaires de l’Etat sans aucune justification. Presque toutes ces personnalités ont joui d’une influence assez importante dans la gestion des affaires politiques, parmi lesquelles la plus emblématique reste, bien évidemment, le Général-Major Mohamed Touati, qui occupait jusqu’alors le poste de conseiller pour les affaires de Défense auprès du Président de la République. La Présidence a également mis fin aux fonctions de Saïd Bouchair, conseiller juridique auprès du Président de la République, ainsi qu’à celles de Ahmed Amine Kherbi, également conseiller spécial au Palais de la Mouradia, et de Ali Driss, chargé de mission à la Présidence. Au niveau de l’armée, Bouteflika a apporté également des changements majeurs. Il a ainsi limogé le Général-Major Rachid Zouine, chef de cabinet de l’ex-ministre délégué auprès du ministre de la défense nationale, le Général-Major Youcef Medkour, chargé de mission auprès du de l’ex-ministre délégué auprès du ministre de la défense nationale, le Général Abdelkader Aouali, chef d’Etat-Major de la garde Républicaine, le Général Abdelkader Benzekhroufa, chef d’Etat-Major de la 1ère région militaire, ainsi que le Général Saïd Ziad, chef d’Etat-major de la 5ème région militaire. Quant aux trois personnes poussées à la retraite, il s’agit de :

Mme Yamina Ramdani, directrice d’études à la Présidence (Secrétariat général du Gouvernement)

M. Tayeb Derguine et Mme Leila Taleb-Hacine, tous les deux sous-directeurs de la même institution.

Concernant les nouveaux entrants, voici la liste :

le Général Noureddine Haddad a été nommé chef d’Etat-Major de la 1ère région militaire,

le Général Khelifa Ghaouar chef d’Etat-Major de la 5ème région militaire.

Soulignons enfin que la Présidence de la République n’a nullement expliqué ou justifié ces mises à l’écart ou ces nouvelles nominations.

Les personnalités écartées :

Général-Major Mohamed Touati, conseiller pour les affaires de Défense auprès du Président de la République

Saïd Bouchair, conseiller juridique auprès du Président de la République

Ahmed Amine Kherbi, conseiller spécial auprès du Président de la République

Ali Driss, chargé de mission à la Présidence de la République

Le Général-Major Rachid Zouine, chef de cabinet de l’ex-ministre délégué auprès du ministère de la Défense nationale

Le Général-Major Youcef Medkour, chargé de mission auprès de l’ex-ministre délégué au ministère de la Défense nationale

Le Général Abdelkader Aouali, chef d’Etat-Major de la Garde Républicaine

Le Général Abdelkader Benzekhroufa, chef d’Etat-Major de la 1ère région militaire

Le Général Saïd Ziad, chef d’Etat-Major de la 5ème région militaire.

Abdelhamid Zerguine, président directeur général de la société nationale pour la recherche, la production, le transport, la transformation et la commercialisation des hydrocarbures à la SONATRACH

Les “mises en retraite” :

Mme. Yamina Ramdani, directrice d’études à la Présidence de la République (Secrétariat général du Gouvernement)

Tayeb Derguine, sous-directeur à la Présidence de la République (Secrétariat général du Gouvernement)

Mme. Leila Taleb-Hacine, sous-directeur à la Présidence de la République (Secrétariat général du Gouvernement)

Les nouvelles nominations :

Le Général Noureddine Haddad, nommé chef d’Etat-Major de la 1ère région militaire

Le Général Khelifa Ghaouar, nommé chef d’Etat-Major de la 5ème région militaire

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